« Je crois qu’avec l’épidémie, les gens se sont mis à réfléchir plus fortement à la manière dont ils voudraient être enterrés » – Sarah Hierhacker, en charge des relations publiques au Musée des pompes funèbres de Vienne (Autriche), interrogée par l’AFP (30 octobre 2020).
Le contexte: créé en 1967, le musée est installé dans les sous-sols d’une chapelle ardente Art déco, au sein du cimetière central de Vienne. Il fut le premier lieu au monde à exposer une collection de cercueils et linceuls pour retracer l’évolution de la culture du deuil. Sa boutique propose un ensemble d’objets en rapport avec la mort, dont des Lego permettant de « jouer à la mort » ou masques sur lesquels est inscrit « Les coronasceptiques libèrent des emplois ». Le musée propose en ce moment une exposition consacrée à Beethoven, à l’occasion du 250ème anniversaire de sa naissance. « Rien sur la vie du compositeur allemand, note l’AFP, mais on peut voir son masque mortuaire et la description précise de son agonie liée à une maladie qu’on n’a toujours pas définie ».
Pour en savoir plus: article de yahoo news