« C’est la perte d’un associé qui m’a fait découvrir il y a quelques années, à quel point les 30 millions d’utilisateurs de réseaux sociaux en France ne réfléchissent pas au devenir de leurs données numériques après leur mort. Aussi ai-je développé cette plate-forme qui doit mettre en œuvre le droit à l’oubli pour ceux qui veulent gérer de leur vivant leur mort numérique.
Les Français sont prévoyants, quand je vois les montants investis dans l’assurance obsèques, et je pense que le moment est venu pour notre innovation de prendre toute sa place dans la « to-do list » des abonnés à Facebook, LinkedIn ou Tweeter avant de mourir; l’adhésion à des dispositifs de « prévoyance digitale » est une nécessité. Pour continuer de grandir, nous comptons sur ce concours, également sur les réseaux bancaires et assurantiels, afin qu’ils aident leurs clients à prendre conscience de ce qu’est un héritage digital. En terme de déploiement, je pense que 2021 sera notre année décisive ».